« Ma femme, je l’aimais. Je l’aimais de tout mon coeur pour sa pureté, pour sa gentillesse, pour sa délicatesse. Elle me comprenait même quand je ne parlais pas. Quand j’avais gros coeur, elle s’asseyait à côté de moi. Sa douceur me suffisait. Sa douceur me comblait. Ici, elle me manque terriblement. Mais, j’apprends à me déplacer par la force pensée. »
« Le 19 août 2019, Ange Didier me livrait ce message :
Mon fils je t’aime. Je suis dans ton coeur à tout jamais. Regarde les vidéos où nous sommes ensemble. Parle-moi. Dans mon coeur, je t’écouterai, dans tes rêves, je te visiterai. N’aie pas peur d’avancer sans moi dans la vie. Je suis là, je te prends la main. Je te serre contre mon coeur. Papa qui t’aime et qui n’a jamais cessé de t’aimer. J’ai gros coeur de vous avoir fait souffrir, vous que j’aimais, vous qui m’aimiez. »
Le 23 août 2019, je canalisais cet autre message :
« J’étais épuisé mentalement. J’avais besoin de repos. "Ils" ne l’ont pas compris : certains de mon staff m’ont poussé, me poussaient à en faire toujours plus. Ils aimaient quand je faisais le buzz, mais au fond de moi, je ne suivais pas toujours. J’aspirais à autre chose. Ma famille me manquait. Je voulais passer plus de temps avec elle, avec mes enfants que j’aimais, que j’aime tant. Ils me manquent terriblement. Maël, la nuit je viens te visiter. Je caresse ton front, tes joues. Je te vois pleurer en cachette. Tes sanglots me déchirent le coeur...
On va communiquer autrement, dorénavant. J’ai rencontré l’Ange Gabriel, Il va bien veiller sur toi, sur ta maman et ta petite soeur. Il me l’a appris. Il me l’a confirmé. Je L’ai vu rayonnant de Lumière, d’Amour de Jésus. Il rayonne de Sa Présence. »
Le 24 août 2019, je recevais cet autre message :
« Je suis très en colère après ma mère. Elle va lui en faire voir de toutes les couleurs, - à Carmen, la mère de ma petite. Elle va lui en faire ch... J’aurais dû être prévoyant. J’aurais dû me préoccuper davantage de son avenir, de leur avenir. Je ne pensais pas mourir si tôt. Je ne pensais pas mourir si vite. Je ne pensais pas mourir si jeune. Je pensais avoir le temps devant moi, tout le temps devant moi...
J’avais beaucoup d’autres soucis à gérer. Je me sentais un peu cerné, un peu prisonnier, prisonnier de mon image. J’étais dépassé. Par moment, j’étais survolté. Par moment, j’étais déprimé. Parfois, je ne savais pas à quels saints me vouer. Je regrette ce qui s’est passé.
Ma dernière épouse, dites-lui combien je l’aime. Dites-lui combien la nuit, je la serre contre mon coeur. Elle est éplorée. Je vais beaucoup lui manquer. Elle m’a aimé sincèrement, profondément. Nul intérêt, nul calcul de sa part.
Qu’elle se méfie de ma mère. Qu’elle s’en méfie profondément. Ma mère ne l’aime pas ! Elle ne l’a jamais aimée. Elle fait des sourires de façade, mais attention. Elle va lui faire de très nombreux coups par en dessous. Je ne serai pas là pour la protéger humainement. Je la protégerai vibratoirement parlant. Je lui insufflerai des pensées, des idées de se protéger, mais je ne serai pas là humainement pour la protéger, pour l’entourer de mon amour, de mon affection.
Je l’aimais sincèrement. Elle me rendait heureux. Elle m’apaisait. Avec elle, je me sentais en confiance. Je n’étais pas sur la défensive. Je vivais à mon rythme. Je vivais comme il faut, comme il se doit.
Je n’avais pas de comptes à lui rendre, mais spontanément, je lui ouvrais mon coeur. Elle m’a vu pleurer certaines fois. Je l’aime. Je l’aimerai toujours. Je vais me transcender. Je vais me dépasser pour encore plus l’aider, toujours plus l’aimer.
Je suis bien, là où je suis. Je suis heureux, là où je suis. Mais dès que j’abaisse mes vibrations, dès que je repense à la Terre, vous me manquez terriblement, infiniment. Je regrette tant ce qui s’est passé. Je n’aurais jamais dû enfourcher ma moto. J’étais trop fatigué. J’étais trop épuisé. J’étais trop sur les nerfs, trop excité à l’idée du concert du lendemain dans lequel j’avais mis tant d’espoir, toute mon énergie.»
Le 27 août 2019, une autre canalisation :
« Je suis bien aimé, bien entouré. Je suis aimé. Je me guéris, mais mon coeur est tellement douloureux. J’aime mes enfants.
J’aime mon épouse. J’aurais aimé lui consacrer ma vie. Dans mon coeur, je commençais, je me préparais à changer de vie. J’avais besoin de me reposer, de poser mes valises. Et c’est avec elle que je voulais le faire.
Ma dernière épouse, elle me manque terriblement. Je la serre dans mes bras. Je la serre contre mon coeur la nuit. Je me dédouble. Je me retrouve à ses côtés, mais elle ne sent pas ma présence. Elle est trop emmuré dans son propre chagrin. Elle n’était pas du tout prête à ce que nous allions vivre tous les deux. Elle désirait secrètement un deuxième enfant. Elle aurait tant aimé m’offrir un fils.
J’ai tellement de regrets. Je regrette infiniment ce qui s’est passé. J’ai tenté le diable. J’étais épuisé nerveusement, fatigué psychiquement. Je n’aurais jamais dû monter sur cette fichue moto. Jamais, je n’aurais dû le faire ! "Ils" m’ont poussé à le faire...
Je n’ai pas osé me défiler, mais une infime partie de moi me disait de ne pas y aller, de rester, de rentrer me coucher. Mais, l’esprit de compétition a été le plus fort. Je n’aurais pas dû les écouter. Ils ont été la voie de mon mauvais génie.
C’est difficile pour moi de me retrouver ici, si prématurément. J’avais tant de belles choses à faire. J’ai un regret infini dans mon âme et dans mon coeur. Votre petit frère me dit que tout va s’arranger au mieux pour moi, pour mes Chinois, pour ma femme, pour mes enfants. Mais à l’heure actuelle, j’ai tant de chagrin... J’ai trop de chagrin... Priez pour moi. »
29 août 2019, une nouvelle canalisation :
« J’avais décidé me reposer. J’avais décidé de poser mes valises. Je voulais vivre avec moins de frénésie. Vivre plus paisiblement. Je voulais prendre plus de temps, davantage de temps à consacrer à ma famille.
Ma femme, je l’aimais. Je l’aimais de tout mon coeur pour sa pureté, pour sa gentillesse, pour sa délicatesse. Elle me comprenait même quand je ne parlais pas. Quand j’avais gros coeur, elle s’asseyait à côté de moi. Sa douceur me suffisait. Sa douceur me comblait. Ici, elle me manque terriblement. Mais, j’apprends à me déplacer par la force pensée.
Je suis enseigné. Je serai à mon tour un futur Enseigneur. Je vais beaucoup progresser en peu de temps. Les six mois qui vont venir vont être importants pour moi, du point de votre vue terrestre.
ICI, LE TEMPS N'EXISTE PAS. NOUS VIVONS DANS L’ÉTERNEL PRÉSENT.
Nous sommes heureux. Nous sommes dans la Complémentarité. Nous sommes dans la Félicité. Je baigne dans Leur Amour. Mon amour peut s’expanser sans crainte, sans appréhension, sans crainte d’être jugé, dévalorisé, méprisé, vilipendé.
J’ai beaucoup souffert sur Terre de leurs méjugements, de leurs médisances. Je faisais comme si je n’entendais pas, mais au fond de moi j’étais blessé. J’étais révolté par moment, par certains qui m’ont trahi plus que d’autres, mais je voulais avancer.
Je pensais à mon fils Maël. Je pensais à mes enfants. Je pensais à ma petite dernière que j’aime tant, qui me manque tant.
La nuit, je la prends dans mes bras. Je la serre contre mon coeur. Elle ressent diffusément ma présence, plus que sa maman qui est trop éplorée. Elle aussi, je la serre contre mon coeur. Son coeur va exploser. La douleur est trop grande à contenir. Elle va craquer. Elle ne va pouvoir se contenir. Je vais beaucoup l’aider. Je vais l’aider à remonter la pente. Il va lui falloir deux bonnes années, deux grandes années. »
Le 31 août 2019, cet autre message :
« Je ne me suis pas préoccupé de mon avenir, ni de celui de mes enfants d’un certain point de vue. J’aurais dû passer plus de temps avec eux. J’aurais dû leur dire que je les aimais...
J’aurais dû leur accorder plus de marques de mon amour, de mon affection, de ma gratitude pour ce qu’ils m’apportaient. Ils me réconfortaient. Ils me réjouissaient. Ils réjouissaient mon coeur et ma vie. J’étais fier d’eux, fier de chacun d’eux. Je le suis toujours.
Là, où je suis, je vois les souffrances dans les coeurs des uns et des autres. Je vois les errances. Je ressens durement, comme une bonne mère, les souffrances qui se logent au plus profond du coeur de chacun, de chacune. »
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